Ce quʼon a dis de moi un jour...


« [...] Ses grandes acryliques sont néanmoins brossées avec une telle rage quʼon se demande si la révolte ne gronde pas intérieurement. Cʼest cela qui nous intéresse dans cette peinture : on rit, oui, mais peut-être bien jaune, dʼune telle désacralisation de lʼimage des hommes. Et les hommes eux- mêmes semblent couver une violence vengeresse ou un début de folie inquiétants. »
Galerie Edgar le marchand dʼart, Paris.